lundi 28 avril 2008

M’investir dans ce qui m’enthousiasme




Aujourd’hui, j’aimerais vous parler de ce qui m’emballe et m’incite fortement à m’engager.

J’ai appris par mon cheminement spirituel et avec la lecture du livre de Jean Monbourquette:À chacun sa passion :



que chaque personne ressent au plus profond d’elle le besoin de s’épanouir dans un agir correspondant à son identité, au service d’une communauté.


J’ai longtemps cherché dans quoi et comment je pouvais m’engager afin d’être utile aux autres. En fréquentant Centre Communautaire Radisson, j’ai eu la chance de suivre plusieurs ateliers en informatique. À mesure que je développais des compétences, on me demandait d’aider certains membres avec l’utilisation de l’ordinateur.

Cette année, je participe activement au projet de tutorat en informatique. J’accompagne deux personnes dans l’emploi de l’ordinateur. J’ai aussi des ateliers pour continuer de développer mes habiletés personnelles. Je suis contente de donner un coup de main en informatique et de goûter aux joies et aux difficultés que Lucie et Mario, enseignants au CREP, vivent.

Je crois que toutes personnes devraient avoir la chance de découvrir le domaine d’activité qui l’enthousiasme et de pouvoir s’investir pleinement.

vendredi 1 février 2008

Tricoter au crochet


Depuis le début de l’été 1970 alors que j’avais treize ans, un de mes passe-temps est le tricot au crochet. Voici comment j’ai commencé à tricoter au crochet. À l’école nous avions des cours d’art ménager, tricot, couture, cuisine etc. Ma mère avait trouvé un petit métier à tisser. Il était carré avec des clous tout autour. Je commençais par passer la laine de haut en bas ensuite je passais les laines de gauche à droite avec un long crochet de métal. À mesure que l’ouvrage avançait des loupes se formaient autour de l’ouvrage. Lorsque j’avais terminé de tisser, des loupes s’étaient formées autour de l’ouvrage. Pour terminer le travail, on utilisait un crochet à tricoter pour les entrer les unes dans les autres

A la fin de l’année scolaire nous avions fait une semaine de classe-verte au camp Edphy. Pour cette occasion j’apportais mon métier à tisser ainsi que les deux crochets nécessaires à la confection des carreaux. Pendant ce séjour je perdais le crochet servant à la finition.

À mon retour ma mère achetait un gros crochet à tricoter numéro 7 en remplacement de celui que j’avais égaré. Voyant cela, je décidai d’essayer de tricoter au crochet. Je travaillai durant trois jours avant de réussir à faire ma première maille en l’air. C’est avec une chaînette de mailles en l’air que l’on commence un ouvrage. Par la suite j’ai fait plusieurs morceaux, jusqu’au jour où, commençant un carreau et n’arrêtant pas de tricoter autour, je me suis aperçu que j’étais en route pour faire une couverture. Cette première réalisation fut de couleur verte et blanche avec de la grosse laine à tapis. Après cette première couverture, j’en confectionnais plusieurs autres. J’ai réussi à en vendre quelques-unes, tandis que d’autres furent données à des amis chers. Aujourd’hui, je crochète toujours, car c’est un plaisir pour moi.
Pour en savoir plus, consultez le site.